Chaque fin d’année, j’ai un petit rendez-vous que je m’offre toujours : mettre à jour mon portfolio avec mes images les plus récentes. Pas par obligation, pas pour “optimiser ma présence en ligne”, juste parce que j’aime avoir sous la main une sélection fraîche, fidèle à ce que je fais aujourd’hui — pas à ce que je faisais trois ans en arrière.
Et soyons honnêtes : les vacances d’hiver, c’est souvent le seul moment où on souffle assez pour le faire. Le téléphone arrête de sonner, les clients sont en pause, et je peux enfin ouvrir mes dossiers, revoir mes shootings, et choisir les photos qui vont m’accompagner toute l’année suivante. Celles que je vais envoyer aux clients, montrer en rendez-vous, glisser dans un dossier de candidature, ou simplement garder comme nouvelle “vitrine” de mon travail.
Depuis que j’utilise Peakto, ce tri-là est devenu encore plus agréable (important quand on parle de tri de photos…) et simple. Plus besoin d’ouvrir cinq catalogues ou trois disques durs différents : tout est au même endroit, et je peux me concentrer sur l’essentiel — retrouver mes meilleures images et les assembler dans un portfolio cohérent.
Dans cet article, je vous montre comment je m’y prends pour fabriquer mon bilan photo 2025 en quelques minutes, exactement comme je le fais chaque année. Pas de blabla, juste mon workflow tel qu’il est. On y va ?
Un guide étape par étape pour créer votre album « Vos meilleures photos de 2025 »
Je commence par un truc tout bête, mais qui change tout : je crée un album dédié dans Peakto. Dans mon cas, je l’appelle : Meilleurs photos de 2025. Rien de très original, mais ultra clair. L’idée, c’est que toutes les photos qui vont représenter mon année 2025 vont finir là-dedans.
Pourquoi un album dans Peakto plutôt que dans mon logiciel de retouche ? Parce que Peakto voit tout :
- mes catalogues Lightroom / Capture One,
- mes dossiers sur disques durs,
- parfois des images qui traînent dans un coin oublié du SSD…
Donc je veux que mon bilan soit au-dessus de la mêlée : un album central, qui pioche partout.
1. Filtrer les photos de 2025 avec la timeline
Ensuite, j’attaque le nerf de la guerre : isoler l’année 2025. Là, le widget timeline de Peakto fait tout le boulot. Concrètement :
- j’affiche ma vue globale,
- je filtre sur l’année 2025,
- et d’un coup, je ne vois plus que tout ce que j’ai shooté cette année-là, peu importe d’où ça vient.
C’est là que je me prends généralement un petit choc : « Ah ouais, j’ai quand même fait pas mal de photos cette année… ». Sans ce filtre par date, je sais que j’en oublierais la moitié. Là, 2025 devient un bloc, une vraie “saison” de mon travail.
2. Commencer par les favoris et les 5 étoiles
Si vous êtes du genre organisé (ce qui n’est pas toujours mon cas, soyons honnêtes), vous avez peut-être déjà :
- mis des étoiles sur vos photos,
- marqué quelques favoris,
- ou utilisé un système de couleurs.
Dans Peakto, je filtre d’abord :
- soit sur les 5 étoiles,
- soit sur les favoris (suivant comment j’ai bossé dans l’année).
Et là, ça devient très simple :
- je sélectionne ces images,
- et je les glisse dans l’album “Meilleures photos de 2025”.
En quelques minutes, j’ai déjà une première version de mon bilan : mes images assumées, celles que j’ai déjà prises le temps de noter pendant l’année.
3. Vous n’annotez jamais vos photos ? Pas grave.
Soyons réalistes, il y a des périodes où je shoote beaucoup et je ne note… rien du tout. Aucune étoile, aucun drapeau. Dans ce cas, Peakto m’aide avec son IA de recherche.
3.1 Rechercher par description
Avec la recherche conversationnelle, je peux taper des choses du genre :
- “portrait en contre-jour”
- “photo de rue de nuit sous la pluie”
- “paysage de montagne avec neige”
Et Peakto va me ressortir toutes les images qui correspondent, même si je n’ai mis aucun mot-clé ni aucune étoile. Là, je fais comme avant :
- je parcours les résultats,
- je repère ce qui me parle vraiment,
- et je glisse ces images dans l’album “Meilleures photos de 2025”.
3.2 Utiliser les catégories
Peakto classe aussi les images par types / catégories dans la vue Panorama (par exemple : portrait, paysage, macro, etc.). Perso, j’aime bien me faire des petites sessions par type :
- je regarde tous mes portraits 2025,
- puis tous mes paysages 2025,
- puis mes images urbaines, etc.
Ça me permet de repérer des trucs que j’avais totalement oubliés, surtout dans les séries perso qui ne sont pas passées par un tri sévère.
4. Trier avec les filtres esthétiques (et gagner du temps)
Une fois que j’ai un gros paquet de photos, je dois faire le contraire : réduire. Dans Peakto, l’analyse esthétique m’aide beaucoup :
- pour mettre en avant les images qui ressortent mieux,
- pour repérer où j’ai été plus inspiré,
- pour virer les doublons un peu moyens.
Je ne prends pas ces filtres comme une vérité absolue — ça reste mon œil qui décide — mais ça m’aide à “remonter” rapidement les images qui valent la peine d’être regardées de près. Je passe alors en mode assez instinctif :
- j’ouvre l’album,
- j’alterne entre vue grille et vue plein écran,
- et je supprime ce qui ne me fait plus vraiment vibrer.
Si une image ne me fait plus rien aujourd’hui, je ne la garde pas dans mon bilan. Même si techniquement elle est “bonne”. Je veux que cet album soit un concentré de ce qui me représente vraiment en 2025.
5. Vous avez une image en tête… mais vous ne la retrouvez plus ?
Ça, c’est mon grand classique. Je VOIS la photo dans ma tête, je sais que je l’ai faite… mais impossible de me rappeler quand ni où elle est rangée. Dans Peakto, j’ai plusieurs options pour la retrouver :
- soit je cherche par description (comme plus haut),
- soit je repars de séries proches,
- soit je passe par des filtres (lieu, focale, etc., selon ce que je me rappelle).
Une fois que je la retrouve, hop, elle part direct dans “Meilleures photos de 2025”. Je ne laisse pas ces photos-là dehors : en général, si elles me hantent encore, c’est qu’elles méritent d’être dans le bilan.
6. Faire un dernier “passage à la loupe” sur l’album
Quand l’album “Meilleures photos de 2025” commence à avoir une belle tête, je fais un dernier tour.
- Est-ce que ça raconte quelque chose de cohérent ?
- Est-ce que je retrouve :
- mes clients principaux ?
- mes projets persos importants ?
- mes expérimentations ?
Parfois, je me rends compte que j’ai un peu abusé sur un sujet (ex : trop de portraits studio, pas assez de travail documentaire) alors je rééquilibre.
- j’en enlève quelques-uns,
- j’en rajoute deux/trois que j’avais peut-être mis de côté.
L’idée n’est pas d’avoir l’album le plus “parfait” possible, mais un bilan honnête de mon année. Ce que j’ai vraiment photographié, ce qui m’a travaillé, ce qui ressemble à ma manière de voir en 2025.
Et après ? Que faire de ce bilan Peakto ?
Une fois que l’album est prêt, je m’en sers de base pour plein de choses :
- préparer un portfolio PDF à envoyer,
- mettre à jour mon site,
- choisir quelques images à tirer en prints,
- ou simplement garder cette playlist visuelle de mon année, pour moi.
Mais même si je n’en fais rien de public, ce moment de bilan me sert énormément :
- je vois où je progresse,
- où je tourne en rond,
- ce que j’ai envie d’explorer l’année suivante.
Et franchement, le fait que Peakto centralise mes catalogues et mes dossiers, et que je puisse tout filtrer par année, notes, catégories, IA… ça transforme ce qui était une corvée en un petit rituel que j’attends avec plaisir.
Transformer une année de photos en portfolio
Mon workflow “bilan photo 2025 avec Peakto”, c’est :
- Créer un album : “Meilleures photos de 2025”.
- Filtrer toutes mes photos de 2025 via la timeline.
- Commencer par les favoris / 5 étoiles → les glisser dans l’album.
- Compléter avec la recherche IA (par description + catégories).
- Affiner avec les filtres esthétiques et mon propre regard.
- Retrouver les images en tête mais introuvables et les ajouter.
- Faire un dernier tri pour que l’ensemble raconte vraiment mon année.
Si vous avez Peakto sous la main, prenez 30 minutes, lancez-vous. Vous verrez, ça fait du bien de voir son année en images. Et parfois, ça redonne envie de remettre le boîtier autour du cou dès le 1er janvier.


