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Comment créer un showreel avec Peakto pour les vidéastes

Chaque fin d’année, c’est mon petit rituel de vidéaste : je rouvre mes vieux projets, je replonge dans mes rushes, je trie, je coupe… et je sélectionne mes plus beaux plans pour préparer le showreel qui va m’accompagner l’année suivante.

 

Si vous êtes comme moi — vidéaste freelance, réal, créateur de contenu ou monteur en agence — vous savez à quel point un showreel bien construit, c’est votre carte de visite la plus puissante. C’est lui qui parle avant vous.

 

La bonne nouvelle, c’est qu’aujourd’hui, préparer ce showreel n’a jamais été aussi simple ni aussi rapide. Comme moi, vous jonglez certainement entre plusieurs projets, des disques durs qui s’empilent, un NAS à moitié plein et différents logiciels de montage. C’est exactement pour ça que j’utilise Peakto, un media manager pensé pour les vidéastes qui vivent dans ce chaos organisé.

 

Dans cet article, je vais vous montrer, étape par étape, comment j’utilise Peakto pour construire un showreel vraiment percutant à partir de mes meilleurs plans. On va faire ça ensemble, comme si on était en session de dérush autour d’un café.

Qu’est-ce qu’un showreel ?

Pour moi, un showreel, ce n’est pas juste un montage “best of”. C’est un petit concentré de qui je suis quand je filme et quand je monte. On y retrouve :

 

  • mes plans les plus forts,
  • ma façon de cadrer,
  • comment je bouge la caméra,
  • le rythme que j’aime,
  • l’ambiance sonore que je pose dessus.

 

En 30 à 90 secondes, l’idée, c’est qu’un client, un producteur ou un recruteur puisse se dire : “OK, je vois ce que cette personne sait faire, et je vois si ça colle à mon projet”. Un showreel, ce n’est pas seulement une démo technique. C’est une petite porte ouverte sur votre univers. Ça raconte quelque chose, même si c’est très court.

 

En gros : c’est votre vitrine, votre pitch et votre identité pro, compressés dans un seul clip.

Pourquoi créer un showreel en tant que vidéaste ?

Comment créer un showreel avec Peakto pour les vidéastes - 01

Honnêtement, j’ai rarement vu un CV faire autant d’effet qu’un bon showreel. Très souvent, les gens cliquent d’abord sur la vidéo avant même de lire le mail. Un showreel permet de :

 

  • attirer des clients dans les domaines où l’image passe avant tout le reste (pub, événementiel, corporate, clip, documentaire, etc.) ;
  • clarifier votre style : vos focales, vos mouvements, vos lumières, vos ambiances ;
  • montrer vos spécialités : motion design, interview, drone, color, montage nerveux, storytelling… ;
  • donner une impression pro tout de suite : un showreel propre, ça rassure ;
  • éviter d’envoyer 10 liens différents : un seul showreel bien fait fait le job.

 

Le problème, vous le connaissez sûrement : refouiller dans de vieux projets, reconnecter des disques, chercher ce plan que vous avez en tête mais que vous ne savez plus où vous avez rangé… C’est long. Trop long. C’est exactement là que Peakto m’a changé la vie.

Préparer son showreel avec Peakto

Peakto, je le vois un peu comme mon “cerveau externe” pour les médias. Il m’aide à :

 

  • retrouver mes plans,
  • filtrer ce qui m’intéresse,
  • organiser une sélection,
  • et préparer tout ça pour le montage.

 

Et ce qui est important pour moi, c’est qu’il s’en sort même si mes fichiers sont éparpillés sur plusieurs disques, dans des projets archivés, dans différents logiciels de montage.

 

Pas besoin de rouvrir chaque projet, de réindexer des archives ou de passer ma vie à reconnecter des volumes : Peakto va explorer les disques, créer des aperçus (que je peux revoir même quand les disques sont déconnectés) et m’afficher tout ça dans un seul endroit.

 

Résultat : je peux refaire le tour de plusieurs mois ou années de tournages, voir ce que j’ai vraiment en stock, isoler mes meilleurs plans, puis les rassembler dans une collection prête à partir dans mon logiciel de montage.

 

En bref : je passe moins de temps à chercher, plus de temps à monter.

1. Rassembler tous vos projets au même endroit

Honnêtement, c’est souvent l’étape que je repoussais le plus : se souvenir de “sur quel disque est ce tournage déjà ?”, rouvrir d’anciens projets, attendre que ça charge, reconnecter les médias… Avec Peakto, cette étape est devenue presque “tranquille”. Concrètement, je lui indique une fois :

 

  • mes disques durs, SSD et NAS,
  • mes dossiers où je range mes rushs,
  • mes bibliothèques Premiere Pro, Final Cut Pro ou DaVinci Resolve,
  • et même mes exports et projets archivés.

 

Peakto ne recopie rien, il ne me refait pas une énième bibliothèque. Il crée juste une vue unifiée de tout ce que j’ai. Et grâce aux aperçus qu’il génère, je peux continuer à parcourir mes plans même si certains disques ne sont pas branchés.

 

Du coup, je me retrouve enfin avec une vision globale de mon travail : je retrouve des plans que j’avais totalement oubliés, je passe moins de temps à rouvrir de vieux projets… et je peux commencer à penser showreel plutôt que gestion de fichiers.

2. Utiliser les filtres ou la recherche pour retrouver vos meilleurs plans

Comment créer un showreel avec Peakto pour les vidéastes - 03

Vous voyez ce plan dont vous êtes super fier, tourné il y a deux ans, mais que vous avez enterré dans un sous-dossier quelque part ? J’avais plein de plans comme ça, “perdus” dans mes archives.

 

Avec Peakto, j’ai récupéré énormément de choses que j’aurais honnêtement abandonnées. Ce que je fais souvent, c’est deux types de recherches :

2.1 Recherche “naturelle” avec l’IA

Je tape par exemple :

 

  • “plan drone au coucher du soleil”
  • “course au ralenti”
  • “interview un peu sombre”
  • “femme souriante”

 

Et Peakto me remonte des vidéos qui collent à cette description. Comme l’IA tourne en local, ça reste sur ma machine.

2.2 Recherche plus technique quand je sais ce que je veux

Je filtre par :

 

  • caméra,
  • résolution,
  • format (RAW, ProRes, H.264…),
  • date,
  • lieu,
  • aspect ratio,
  • etc.

 

En quelques secondes, je me retrouve avec une sélection de plans qui sont vraiment dans ma zone “showreel”. Souvent, je me surprends à retomber sur des images que j’avais complètement zappées et qui deviennent des moments forts du showreel.

3. Créer votre chutier directement dans Peakto

Comment créer un showreel avec Peakto pour les vidéastes - 04

Une fois que j’ai trouvé des plans qui me parlent, je commence à construire mon showreel… mais je ne vais pas directement dans Premiere ou Resolve tout de suite. Je préfère d’abord tout poser dans Peakto. Ce que je fais concrètement :

 

  1. je crée une collection (mon “chutier showreel”) dans Peakto ;
  2. j’y glisse les plans que je veux garder de côté ;
  3. je compare rapidement différentes prises d’un même plan ;
  4. j’affine petit à petit la sélection.

 

L’avantage, c’est que je peux venir de partout : un tournage client, un projet perso, un clip, un docu… peu importe. Tout se mélange dans ce même espace, sans que je me demande de quel projet ça vient.

 

Et comme je peux prévisualiser les vidéos directement dans Peakto, je n’ai pas besoin d’ouvrir mon logiciel de montage juste pour “voir ce qu’il y a dans ce fichier”. Au final, Peakto devient pour moi une grosse table de dérush centrale où tout est posé devant moi, sans friction.

4. Exporter votre chutier dans votre logiciel de montage

Comment créer un showreel avec Peakto pour les vidéastes - 05

Quand je sens que ma sélection tient la route, là je passe au montage. Depuis Peakto, j’exporte simplement ma collection vers mon logiciel de montage :

 

  • Premiere Pro,
  • DaVinci Resolve ou
  • Final Cut Pro.

 

Ce qui arrive de l’autre côté :

 

  • les médias sont prêts,
  • l’organisation est respectée,
  • et je peux même partir d’une timeline déjà structurée selon ma sélection.

 

Quand j’ouvre le projet, je ne suis plus en mode “archéologie de fichiers”. Je suis en mode montage : rythme, musique, transitions, étalonnage. C’est un moment beaucoup plus agréable, parce que le plus pénible (la chasse aux plans) a déjà été fait.

Faire un showreel qui vous ressemble

Pour moi, un showreel ne devrait pas être synonyme de galère une fois par an. C’est censé être un exercice plutôt cool : un moment où on regarde en arrière ce qu’on a fait, où on voit son évolution, où on se fait un peu plaisir.

 

Peakto m’aide juste à enlever la partie “chasse au trésor dans les disques durs”. Je retrouve mes vidéos plus vite, je sélectionne mieux, et je commence mon montage dans de bien meilleures conditions. Avec cette méthode, j’arrive à faire un showreel :

 

  • plus rapide à monter,
  • plus cohérent,
  • plus propre,
  • et surtout, plus fidèle à ce que je fais vraiment aujourd’hui.

 

Si vous repoussiez toujours le moment de faire votre showreel parce que “c’est trop le bazar dans vos rushs”, je comprends très bien, j’étais pareil. Mais avec un outil comme Peakto au centre de votre workflow, ça devient beaucoup plus faisable… et presque agréable.

 

Prêt à vous y remettre, vous aussi ?

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